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Des nouvelles nouvelles, site et exposition

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Published the 16/07/2013

La douceur du partage

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Published the 12/10/2011

Dégustation de confitures et de bronzes le 9 octobre 2011

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(Sorry, this article is for now only available in French)
L'année a été productive, l'été nous en a livré les fruits, Ceux du palais et ceux de l'esprit.

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Published the 03/10/2011

la foule 2 a trouvé son foyer, dans de la poésie.

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Published the 14/07/2011

Que faites vous du 4 au 10 juillet prochain ?

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Published the 20/06/2011

Les femmes étaient en souffrance mais Lukate était à l’hôpital

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Published the 17/06/2011
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nathalierodach
merci @hiflow_geneva jusqu’au 10 juin #Repost
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Call out | (h)Être par Nathalie Rodach Berrebi (@nathalierodach)
 
Née à Paris, elle écrit, peint et sculpte depuis l’enfance. Autodidacte, elle est d’abord tentée par l’école Estienne mais se tourne vers les sciences économiques et le droit à Paris X, avant de se consacrer à un DESS de droit et administration de la communication et de l’audiovisuel à la Sorbonne. Au milieu des années 1990, elle s’inscrit à l’école supérieure des arts appliqués Duperré avant de quitter la France pour les États-Unis. En 1999, elle retourne en Europe pour s’installer en Suisse. Suivent quelques années de remises en question qui la poussent alors à se consacrer pleinement à sa pratique artistique. En 2003, la première exposition à laquelle elle participe à Paris est un succès, lui permettant de continuer à “écrire ses histoires” dans des projets qu’elle expose depuis en Suisse, aux États-Unis, en Israël ou à la Biennale de Venise. 

Quel est cet endroit fragile et subtile dans lequel nous nous posons pour enfanter nourrir. De quelles brindilles nous chargeons-nous pour déposer nos âmes nos secrets nos trésors. Quel est le lieu de notre sécurité, projection dans nos imaginaires, mais aussi celui du rejet, de l’expulsion. Y- recueilleront nous ce qui y nait de nous ou nous nous approprierons-nous le fruit des autres ? Naître c’est avoir été lentement transformé, avoir accepté d’abandonner le connu. 

« Une consonne muette entre parenthèse pour définir l’un, et le conjuguer. S’il s’élançait vers les cieux, comme dans le rêve d’un roi, abattu et de ses racines rien ne naitra d'autre que la folie créatrice de celle qui a vécu sur ses pieds. Lui ai-je enlevé son coeur d’homme pour lui substituer celui de l’animal ? La rosée ne l’a pas nourri. J’ai gravé les prophéties, l’ai cerclé d’or et d'argent en lieu et place du fer et de l’airain, pareillement chaines. La force bâtie par les ans, rompue par l’homme porte les traces de ses combats et de ses temps. Les oiseaux de chair et de sang l’ont depuis longtemps déserté, mais il porte plus que tout arbre leurs fruits renouvelés, j’ai entendu l’oiseau et je l’ai honoré́́́.»
Voici quelques uns des sous jacents de ce que N’ Voici quelques uns des sous jacents de ce que N’oublie pas l’hiver raconte.
Et puis il voyagera, portant les ombres loin de leurs troncs, évoquant les exils et les impossibles mémoires, les narrations vivantes et légendaires d’un avant. Elles viendront coloniser des espaces qui à leur tour s’y refléteront, révélant des associations improbables, invitant la co création . Mais c’est une autre histoire.

Here are some of the underlying of what Don't Forget Winter is about.
 And then it will travel, carrying shadows far from their trunks, evoking exiles and impossible memories, living and legendary narratives of a past.  They will come to colonize spaces which in turn will be reflected in them, revealing improbable associations, inviting co-creation.  But this is another story.

Merci @tillarudel @institutfrancais_timisoara @teo_papadopol @studio_citadelle @bondarelu @tataruseba @sabin and @dianamarincu
L’ombre est une illusion. Elle est ce qui soustr L’ombre est une illusion. Elle est ce qui soustrait à la lumiere, nous dessine. Elle s’étire et se déploie, elle extrapole comme dans la caverne de Platon, ou les hommes enchaînés confondent les ombres effrayantes avec la vérité. Nous portons la nôtre et celles qui nous ont été léguées, que nous déformons à souhait. 

Le miroir est une illusion, il renvoie la lumière et nous restitue la vérité de l’instant. iIl recouvre en donnant l’illusion de la profondeur, confondant dedans et dehors, en le cachant. Donne l’illusion de l’altérité et le risque , comme Narcisse de tomber amoureux de notre image. Il reflètera aussi le ciel, renverra l’image des arbres pleins de feuille cette fois, et peut être reparera-t-il l’oublie 

Ombre qui permet aussi de voir sans éblouissement, miroir reflet de nos alterites. 

L’ombre d’un jour où les arbres n’avaient pas de feuilles, est une anachronie, une image sortie de son contexte, elle nous rappelle que le temps n’est marqué  que par l’emotion qui s’y rattache. A nous de choisir ce que nous voulons projetter dans ces miroirs.

Shadows are an illusion. They are what subtract from the light, draws us. They stretche and unfold, they extrapolate as in Plato's cave, where chained men confuse fearful shadows with the truth. We carry our owns and those that have been bequeathed to us, which we distort at will. 

Mirrors are an illusion, they reflect the light and give us back a momentary truth. They cover, giving illusion of depth, confusing inside and outside,. They give the illusion of otherness and the risk, like Narcissus of falling in love with our image. It will also reflect the sky, return the image of trees full of leaves this time, and maybe it will repair the forgotten Shadow which also allows us to see without glare, mirror reflection of our alterities. 

The shadow of a day when the trees had no leaves is an anachrony, an image taken out of context, it reminds us that time is marked only by the emotion attached to it. It's up to us to choose what we want to project in these mirrors.
Là où cet hiver à l’Institut français, s’étiraient les ombres des arbres sans feuille,  je redessine les traces de l’hiver / hier. Ces ombres sont découpées en  bois et recouvertes de miroirs. Lentement, très lentement  les ombres se matérialisent avec l’aide precieuse de Teo, @studio_citadelle producteur d’art de choc, Ioana super efficace @bondarelu , et mon assistant photographe Marco @mberrebi 

Where, this winter at the French Institute, the shadows of leafless trees stretched out, I redraw the traces of winter / yesterday, then these shadows are cut out of wood and covered with mirrors. Slowly, very slowly the shadows materialize with the precious help of Teo, gifted art producer (and artist), Ioana very gifted and my personnal assistant photographer Marco
Le titre est une injonction, un impératif, n’ou Le titre est une injonction, un impératif, n’oublie pas l’hiver lorsque les jours sont doux nous sommes prompts à oublier que nous avons traversé des périodes nuageuses ou tempétueuses, connu le froid et le gel.Cet oublie nous re-projette dans le chaos dès que les jours raccourcissent de nouveau. Souvenons nous de ce que nous avons vécu pour nous réjouir de nos victoires et nous apaiser des prochaines batailles : trouver de la force, de l’inspiration, de la joie dans le present, parce que toujours nous vainquons

The title is an injunction, an imperative, do not forget winter: n’oublie pas l’hiver when the days are mild we are quick to forget that we have gone through cloudy or stormy periods, experienced cold and frost. This oblivion throws us back into chaos as soon as the days get shorter again. Let us remember what we have been through to rejoice in our victories and soothe us in the next battles: find strength, inspiration, joy in the present, because we always win.

#timisoara
New adventure in #Timisoara #Romania a city soon t New adventure in #Timisoara #Romania a city soon to be European Capital of Culture and this is for a good reason. Culture is here at the core of the lifes. Forget all you thought about Romania and come visit
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