Inspirer et expirer en même temps
« côte à côte et face à face » des visions imbriquées du monde
Il y a le bien le mal, le blanc et le noir, le littéral et le symbolique, l’ombre et la lumière. Ces oppositions reflètent une façon d’appréhender le monde qui ignore ce qui est avant ou après, ce qui n’est pas encore ou plus visible, audible, compréhensible. Dans Inspirer et expirer en même temps, continuation de ma recherche sur la représentation symbolique de Dieu, Je mets côte à côte et face à face des visions alternées du monde. Dans cette histoire photo et vidéo, vous êtes encouragés à regarder au-delà, à comprendre les sens, l’essence de ce qui est proposé.
Sèves brutes Passé
Nos sangs communs, réflexions sur ce qui nous traverse en trois temps : avant
Ce serait un parcours où le temps serait visible, futur immense mais insaisissable dans l’installation du Château, appréhendable mais débordante dans le présent de la galerie et enfin très concentré pour un passé qu’il faut exhumer au musée.
Des Fossiles de verre ont été découverts dans la cour d’un musée bordelais. Ils portent la trace d’une vie depuis longtemps disparue, figée par la lave ou la mémoire. A partir de ces fragments figés, traversés de rouge, noir et blanc, Pourra-t-on reconstituer ce qui a été ?
Sèves brutes Présent
Nos sangs communs, réflexions sur ce qui nous traverse en trois temps : maintenant
Ce serait un parcours où le temps serait visible, futur immense mais insaisissable dans l’installation du Château, appréhendable mais débordante dans le présent de la galerie et enfin très concentré pour un passé qu’il faut exhumer au musée.
Ce serait une histoire sans commencement ni fin, une histoire de temps et de rencontres, des rencontres entre les hommes, des rencontres intérieures, des rencontres d’émotions aussi. Des rencontres juxtaposées et corrélées et parfois aussi immatérielles qu’essentielles
Sèves brutes Futur
Nos sangs communs, réflexions sur ce qui nous traverse en trois temps : bientôt
Ce serait un parcours où le temps serait visible, futur immense mais insaisissable dans l’installation du Château, appréhendable mais débordante dans le présent de la galerie et enfin très concentré pour un passé qu’il faut exhumer au musée.
Ce serait une histoire sans commencement ni fin, une histoire de temps et de rencontres, des rencontres entre les hommes, des rencontres intérieures, des rencontres d’émotions aussi. Des rencontres juxtaposées et corrélées et parfois aussi immatérielles qu’essentielles
L’absence en nos pas
Aller vers des parts de soi que l'on ne connait pas
Dans les ténèbres qui m’entourent, je cherche une voix, une voie vers la lumière. Les sons qui me parviennent n’ont aucun sens, ils se mêlent à mes pensées et ne tissent rien. Ils jaillissent de toute part, je me perds.
C’est le sentiment familier des sauts dans l’inconnu que chaque matin appelle et chaque soir apaise.
J’ébauche des cartes que je ne peux lire mais dont la présence me rassure. La matière du papier sur lequel elles s’esquissent , les éclats dans ma mémoire inscrivent plus valablement le nord que ce que je tente de déchiffrer des alentours (…)
Call Out (re)cueillir
De mutation en émergence : des franchissements infinis - 2ème partie
Quel est cet endroit fragile et subtile dans lequel nous nous posons pour enfanter nourrir. De quelles brindilles nous chargeons nous pour déposer nos âmes nos secrets nos trésors. Quel est le lieu de notre sécurité, projection dans nos imaginaires, mais aussi celui du rejet, de l’expulsion. Y-recueilleront nous ce qui y nait de nous ou nous nous approprierons-nous le fruit des autres ?
Naître c’est avoir été lentement transformé, avoir accepté d’abandonner le connu.